Annie-Claude Elkaim, vice présidente de l’association a organisé la manifestion et présenté le colloque
La salle du Hall de Paris contient 600 places.
Annie-Claude Elkaim anime les tables rondes.
Nicolas Ribowsky, ému : « Nous sommes ensemble pour l’éternité, notre passé nous accompagne et il ne faut pas que ça s’efface ».
P.Cabanel, professeur d’histoire à l’Université de Toulouse : « les Justes ne savaient pas qu’ils risquaient autant, ils ne considéraient pas ça comme héroïque et même pas comme historique ».
Souvenir d’une chanson apprise par Fanny Alter : « Aux beaux de cocagne, on inaugure un chemin de fer qui traverse la campagne… »
« C’est Fanny Alter qui me lavait les cheveux, elle disait qu’ils étaient comme de la soie »
C.Lewertowki raconte que le premier shabbat de la Libération, tous les enfants sont revenus à Moissac comme promis à Shatta et Bouli.
C.Lewertowski rappelle le mantra de Shatta : « A Moissac, on a choisi la vie et on a gagné ».
David Assouline, sénateur, s’exprime lors de l’ouverture du colloque.
Cérémonie d’ouverture du colloque : la salle est pleine.